De nombreux musulmans à notre époque, parfois sincèrement, se donnent pour mission de blâmer d’une manière radicale leurs coreligionnaires qui commettraient des péchés, des fautes ou s’éloigneraient du droit chemin.

Le fait que le Prophète (saw) qui prenait en charge de multiples rôles, qui donnait de l’attention à tout le monde et à toutes taches ne trouvait pas correct de courir même pour arriver à temps à la prière en assemblée...

Il est très souvent question dans le Coran de « ceux qui ont cru et accompli de bonnes œuvres (‘amal al-salih) ».

La lutte du Prophète Muhammad (saw) dans la voie du monothéisme (Tawhid), qui dura 23 années, atteignit son apothéose et s’acheva par l’élocution du Discours d’Adieu.

« Je ne suis qu’un serviteur, je mange et je m’assois comme un simple serviteur. »

Les sources citent certains effets personnels que le Prophète (saw) gardait toujours sur lui, dont : un peigne, un miroir, un miswak, un cure-dent, des ciseaux et un flacon de kohl.  

Chamâil est le pluriel de chimâl. Les  nombreux mots arabes tirés de cette racine possèdent différents sens, voire des sens opposés les uns aux autres. 

Que la louange soit à Allah, la prière et le salut sur Son Messager (saw), autant que la balance peut contenir, que la science peut embrasser, que l’agrément divin peut englober, que le nombre des bienfaits peut atteindre et que le poids du Trône peut peser.

Le fait que le Prophète Muhammad (saw) ne sache ni lire ni écrire est présenté par le Coran comme l’une des preuves du caractère divin du Livre sacré.